A marquer d'une pêche blanche.
La petite amorosa fête son 22ème anniversaire.
Arabian.
Une chtite faim ?
Boulimique.
Vous allez me dire que pendant le ramadan ce n’est pas évident. C'est vrai, mais cela fait déjà plus d'un an et demi que ça dure et vous n’avez rien remarqué ! C’est normal, je ne le cris pas sur les toits.
Je suis boulimique oui mais d’une fille ou plutôt de la fille. J’ai sans cesse faim d’elle. L’idée quelle soit loin de moi m’insupporte. Je l’avale pour la régurgiter deux, trois jours après. Ca fait mal à chaque fois de plus en plus mal. Je ne vie plus qu’au rythme de nos déchirures toujours sur les quais de gares. Ces satanés quais dons les sols absorbent nos larmes tels des éponges.
Refonte.
Simple.
Kundera.
Je fus agréablement surpris par le style direct, mais surtout par la véracité et l’étonnante exactitude des scènes décrites tout au long des sept nouvelles que composes ce livre de Kundera, on serrait tenté de croire à du vécus.
Ce livre ce lit très facilement, il m’a été impossible de m’identifier complètement à un seul personnage du livre, malgré leurs traits de caractères toujours bien dessinés.
Bref on ne s'improvise pas critique littéraire. Je finirais par, remercier d’abord le prêteur du livre (que je me suis empressé d’aller acheter le livre hein), et vous conseille de découvrir cette auteur formidable qu’est Kundera.
Sensations diffuses.
Pour l'instant, je flotte encore dans le doux coton des instants passés ensemble.
Mais je sais qu’au courant de cette semaine (et ce plutôt que je ne le crois) je retomberais inévitablement dans le train-train monotone du métro-boulot-dodo.
Je sais que pour un oui, pour un non, pour une envie subite de câlins, mon humeur si sereine aujourd’hui se laissera ternir par l’ennuie.
Je sais que deux semaines ça n’est pas long, qu’on a toute la vie devant nous. Je sais toutes ces choses que la raison veut nous faire entendre.
Mais il y a une chose que je ne sais que trop bien, c’est que la vie peut parfois être cruelle.
Je suis comme un enfant, je veux tout, tout de suite, de peur qu’un jour il ne soit trop tard, qu’on me prenne ce qu’aujourd’hui on m’offre.
Le temps me manque, il m’échappe, il glisse entre mes doigts. Et ça, ça me donne le vertige.